Cette passion pour les ânes depuis la plus tendre enfance leur a fait changer de vie.
C’est en 2004 que l’aventure
Ânes d’Autan, une ferme entourée de plus de 35 hectares de prairies verdoyantes et de forêts au cœur du pays de Cocagne. Le doux climat de Midi-Pyrénées, l’amour et les soins vont entourer les premiers ânes du troupeau.
Rare et précieux, ce lait empreint de légende et utilisé depuis l’antiquité pour ses
vertus dermatologiques va donner naissance aux premiers
savons bio-écologiques.
Ainsi, la
marque française propose des
savons, des crèmes pour le corps et pour le visage, des gels douche et des shampooings, tous labellisés bio (Cosmebio etou Nature & Progrès) et
non-testés sur les animaux.
Aujourd’hui, le troupeau compte 33 ânesses et ânons, et la
gamme des Ânes d’Autan s’est enrichie de nouveaux produits, pour le plus grand bonheur de leurs adeptes, sans cesse plus nombreux à témoigner leur contentement.
L’engagement éthique et écologique de la
marque Ânes d’Autan :
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Le respect de la vie sous toutes ses formes, des formules cosmétiques exclusivement naturelles et exemptes d’ingrédients néfastes pour l’homme et l’environnement, des emballages écologiques sans superflu.
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Une démarche éthique et solidaire visant à soutenir le tissu rural et le métier de paysan, des partenaires de proximité avec des entreprises à taille humaine, des circuits courts et la volonté de développer une distribution locale sur les foires, marchés et magasins biologiques.
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Un profond respect des ânesses qui bénéficient d’un espace de vie exceptionnel et d’une alimentation de qualité. Tous les ânes sont identifiés aux Haras Nationaux et sont définitivement écartés de l’abattoir.
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Une auto-éco-rénovation des locaux de la ferme et des bureaux avec enduits naturels terre-chaux, énergie solaire pour la production d’eau chaude et utilisation du bois comme système de chauffage central, bois provenant de la forêt de la marque et débardés à cheval.
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Le refus d’exporter les produits à l’autre bout de la terre et ce malgré de nombreuses demandes. Cela impliquerait en effet d’augmenter la production de lait au sein de l’exploitation agricole, de ce fait d’augmenter le troupeau, la surface en herbe et de créer une incertitude quant au devenir des ânons… en un mot de passer l’exploitation en mode de production intensive. Le rapport femmeanimal s’en trouverait bouleversé. De plus, il paraît incohérent d’ajouter un bilan carbone négatif (lié aux transports) à notre gamme.
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Un projet d’installation sur la ferme d’un système de récupération des eaux de pluies pour l’alimentation en eau des bassins des ânesses et des jardins potagers afin de limiter les consommations d’eau potable.